Putain j'ai fait un rêve lô y'a une heure
je viens de passer une heure à l'écrire sur Microsoft Mots tellement...
J’étais stationné en voiture avec ma mère et mon cousin à une aire de parking quasi vide du village de ma grand-mère avec un bidon en plastique bleu contenant le cadavre de mon voisin d’en face dans le coffre. Ma mère m’avait demandé de me débarrasser du cadavre. L’aire avait un petit coin dans un angle qui abritait des travaux municipaux de rénovation, je me cachais pas derrière pour masquer mon travail, leur voiture restant stationnée juste à côté. Le bidon contenant le cadavre contenait de l’eau salée qui était censée commencer à ronger le cadavre pour le rendre inidentifiable au départ, puis le ronger définitivement à long terme. Je mettais des coups de pelle dans l’eau en espérant découper par la même le cadavre moisi et je pensais y arriver, me disant que le cadavre était vraiment putréfié et quasi liquide. Je balançais les pelletées aqueuses et putréfiées dans un bac d’eau servant au petit chantier de l’aire de parking. Vint un moment où j’avais trop vidé le bac pour pouvoir continuer à pelleter dedans. Ma mère prévenue du problème déplace la voiture et remorquant le bidon macabre, me promettant qu’elle allait par une manœuvre ma faciliter le travail. S’éloignant d’une vingtaine de mètres, elle renverse le bidon au sol lors d’une marche arrière ratée. Je m’approche pour me rendre compte que le cadavre que je pensais putréfié est tombé et sorti du bidon qui s’est vidé par la même. Le cadavre du voisin est encore en très bon état ; la peau grisâtre et un air semi-squelettique mais une rigidité dure comme la pierre. Encore pire, il est habillé d’un uniforme allemand de la première guerre avec casque à pointe et est ligoté à un traineau en bois avec sa mâchoire béante et bloquée de son visage plus proche du crâne que des traits humains laissant apercevoir la douleur qu’a causé sa mort. Ma mère et mon cousin sortent de la voiture, apeurés par l’incident, leur petit jeu de dupe étant présentement visible par tout le monde.
Comme par malheur, un contrôle de police avait lieu à l’autre angle de l’aire et les policiers stationnées finirent par trouver nos manœuvres farfelues étranges et vinrent inspecter. Les deux autres s’affolaient et tentaient de masquer leur œuvre. Moi, ayant pressenti qu’il était trop tard pour éviter d’être calé, j’accueilli les 3 policiers qui arrivèrent successivement en leur serrant la main et me mettant de côté. Le second était par ailleurs le voisin du père d’un ami la rue d’à côté, j’essayais de jouer sur cette « filiation » pour m’attirer sa sympathie ; ca fonctionna en apparence mais ce fût vain à long terme apparemment. Après avoir compris la supercherie, nous fûmes mis en état d’arrestation. Mère et cousin furent conduits autre part, je ne sais où. Quant à moi, il s’avéra que l’aire de parking où se passèrent les faits était en réalité une cour de prison dissimulée. Je passais donc du statut d’homme libre à celui de captif sans m’en rendre compte. Ma tenue devînt l’uniforme orange vif que l’on connaît des prisonniers.
On me ligota dans un coin pendant que les policiers inspectèrent le cadavre et qu’une masse d’autres prisonniers se réunirent autour par curiosité malsaine pour observer la scène profane. Pendant ce temps, une racaille profita de mon isolement et immobilité forcée pour me tirer avec un plaisir sadique des bouts de bois dans le front avec une arbalète. Je ne pus rien faire.
Il était à présent temps de se rendre à la cantine qui curieusement se situait à l’extérieur de la prison elle-même. Bien que conduit la haut en bus, on me prêta un petit bateau zodiaque aéroglisseur pour route de couleur orange avec le drapeau d’Israël dessus pour revenir à la prison après avoir mangé. Je n’essayais même pas d’en profiter pour m’évader, sans doute par peur. Revenu à la cour, les policiers avaient organisé un festival musical autour de la prison. Fanfare, orchestre, musiciens danseurs tous autour à fournir le divertissement. Je me faufilais entre les danseurs discrètement à l’aide du bateau pour ne pas trop déranger la spectacle. Arrivant près du portail, j’aperçus un orchestre aux couleurs d’Israël, j’ai compris que j’y gagnais à ma garer près d’eux, ne sachant pour le moment où je pouvais bien aller. Un garde m’avertit que ma filiation avec les Israéliens a fait monté ma côté de popularité en prison de de 1 Milliards de points et que Pascal Obispo a dit par micro depuis sa cabine qu’il m’approuvait.
Je finis pas rejoindre ma cellule. Dans les vestiaires en commun, je suis le dernier à quitter les lieux, en retard pour une sortie publique obligatoire des prisonniers. Je cours comme un fou vers la sortie puis remonte car j’ai oublié ma carte de prisonnier dans ma chambre puis re-détale comme un lapin vers la sortie. Je vois à l’entrée du portail –côté intérieur – 2 gardes l’un me regardant, l’autre sur ordinateur.
Celui debout me dit :
« Tiens RT, on a consulté ton fichier sur la banque de données en ligne des prisonniers. T’as un sacré profil. Diplômé de grandes études, aucun casier judiciaire précédent, profil droit, bien intégré etc…
-Ha ouais, rétorquais-je
-Ca t’a même valu de devenir très apprécié par certains des prisonniers
-Carrément !?
-Ouais mais fait gaffe, il s’agit que d’un certain groupe. Il reste une minorité de racailles qui t’attend pour t’éclater ta tête.
-Ha merde !
-C’est dommage de gâcher ton casier judiciaire impeccable en faisant ce que t’as fait.
-Bah, je suis pas vraiment coupable, j’ai voulais juste rendre service
-Oui ben ca c’est le problème de la justice, nous on n’est pas là pour ça.
La conversation s’arrêt et je saute don mon zodiaque orange Israélite customisé zones urbaines pour me rendre là où je suis attendu.
La putain de suite dans un autre message pute