Le procès auquel tu VEUX assister!

Viens performer avec ton style de nègre américain.
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Morceaupar SommedeRie_Man » Mar 5 Fév 2008 00:48

PARIS (Reuters) - Le plus grand procès en correctionnelle jamais organisé à Paris, qui vise un vaste réseau présumé de blanchiment d'argent entre France et Israël de 1996 à 2001, s'est ouvert lundi à Paris avec 142 prévenus, dont la Société générale et son P-DG Daniel Bouton.
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Déjà ébranlé par la perte de 6,9 milliards d'euros imputée à un trader et à la crise des "subprimes", Daniel Bouton, poursuivi comme sa société pour "blanchiment aggravé" de capitaux, s'est fait discret au tribunal, évitant les caméras et se refusant à toute déclaration.

Appelé à la barre pour l'interrogatoire d'identité, il s'est vu notifier par le président qu'il était jugé pour le blanchiment de 210 millions de francs, soit 32 millions d'euros. Le président l'a prié de remettre ses coordonnées téléphoniques en greffe, ce qu'il a fait, avant de partir.

Il ne sera interrogé que les 28 et 29 mai dans ce procès prévu pour durer jusqu'au 3 juillet, où il risque en théorie dix ans de prison ferme. Sa banque encourt des sanctions financières et des mesures telles qu'un placement sous surveillance judiciaire, des fermetures d'établissements, ou encore une exclusion des marchés publics.

Daniel Bouton a pris place dans une salle spéciale où se bousculaient à l'ouverture du procès les autres prévenus, entrepreneurs du quartier parisien du Sentier, plusieurs rabbins en tenue traditionnelle, ainsi que 170 avocats de la défense, journalistes du monde entier, proches des prévenus et badauds.

L'affaire vise un circuit de chèques entre France et Israël qui aurait servi à blanchir des fonds détournées d'entreprises, le produit de fraudes fiscales ou de vols.

Les prévenus auraient le plus souvent procédé à des transactions fictives entre sociétés du Sentier et sociétés-écran, permettant d'émettre des chèques, qui étaient encaissés en Israël dans des bureaux de change. Les banques israéliennes envoyaient ensuite les chèques français à leurs correspondants français pour compensation.


L'argent revenait alors en espèces aux entrepreneurs émetteurs des chèques, avec commission aux intermédiaires. Auraient aussi été encaissés en Israël des chèques volés à des particuliers, à des administrations et des entreprises, avec une facilité de la législation locale permettant d'en changer le bénéficiaire par une mention manuscrite.

Parfois, le destinataire changeait subtilement, comme les chèques à l'Ursaaf qui profitait à M. "Ursaafian".

Dans ce dossier ouvert en juillet 1998, sont jugées trois autres banques comme personnes morales (la Société Marseillaise de Crédit - filiale de la HSBC - la Banque Nationale du Pakistan et la Barclays),, qui se voient imputer respectivement un blanchiment de 2,6 millions d'euros pour les deux premières, et 24 millions d'euros pour la dernière.

Il est reproché aux banques d'avoir connu le mécanisme de blanchiment sans le dénoncer ou prendre aucune mesure.

La Société générale aurait ainsi attendu quatre ans, de 1998 à 2001. Or, une note envoyée au conseil d'administration de la banque en novembre 2000, saisie et versée au dossier, est intitulée : "affaire du Sentier, risque de mise en examen de la Société générale pour blanchiment".

Par ailleurs, les fraudeurs présumés avaient plusieurs comptes courants chez elle, où transitaient, au nom parfois de simples associations confessionnelles, d'énormes montants en espèces, sans que la banque s'en alarme jamais.

Daniel Bouton et la Société générale nient tout délit. Ils expliquent qu'ils n'avaient pas connaissance du circuit frauduleux et que le contrôle des chèques était impossible.

Trois membres de l'état-major de Daniel Bouton, Emmanuel de Bouard, Jean-Paul Leblanc et Philippe Vigue, sont aussi prévenus.

L'enquête de police est partie d'une autre affaire d'escroquerie, opération alors baptisée "planter les banques" par une des protagonistes et qui s'est déroulée dans le Sentier, haut lieu de la confection. Pès de 90 personnes ont été condamnées en 2002-2003 pour avoir spolié des banques et des assurances par des échanges de traites fictives et de fausses déclarations de sinistres.

Ce procès contient tout ce que tu veux t'entends? Les israéliens aux yeux bleus,les avocats payés avec les 10 000 US dans chaque poche,ce gangster de Daniel Bouton,les fraudeurs,les entrepreneurs,la banque du Pakistan(qui subventionne la fabrique des t-shirts que porte le Roi),etc...

Une mise-en-marché PUTAIN d'monstre!:heenok0: :bush: :sharon:

Allez,cours y assister!!:pognon: :biere:
Comment tu veux que le son passe,par euh...mon MPC-3000 Roger Linn édition limitée,se transpose dans le Triton,après va vers la carte de son?Image
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SommedeRie_Man
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Morceaupar Le patron » Mar 5 Fév 2008 14:17

Ou sont les avocats de divertissement juifs :han3:
C'est Gansger &Gentleman
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Les lamborghini doivent se faire comme usage normal pour ces jeunes qui rappent, des négros millionnaires quoi!
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