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Posté par SommedeRie_Man le 09 juillet 2008 à 03h25
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PARIS (Reuters) - Ségolène Royal a déclaré qu'elle voyait un possible rapport entre un cambriolage de son appartement le 27 juin dernier et ses attaques virulentes contre Nicolas Sarkozy et le gouvernement.

"J'observe que la semaine dernière, au moment où j'ai dit qu'il fallait mettre fin à la mainmise du clan Sarkozy sur la France, mon domicile a été mis à sac", a-t-elle dit lors du journal de 20-Heures de France 2.

Prié de dire si elle établissait un lien entre les deux événements, elle a répondu : "Je fais un rapport entre les deux, en effet."

"C'est une drôle de coïncidence et c'est la seconde fois, la première a eu lieu pendant la campagne présidentielle", a-t-elle ajouté.


L'ancienne candidate socialiste à la présidentielle a déposé plainte après avoir découvert, selon ses déclarations, son logement de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) "retourné" le 27 juin, jour où elle présentait sa contribution au congrès de son parti programmé en novembre. Rien n'aurait été volé, selon ses déclarations.

Le procureur de Nanterre Philippe Courroye s'est rendu sur place et une enquête de police a été ouverte.

Dans un communiqué, Chantal Brunel, porte-parole de l'UMP, estime que "certaines limites, qui sont celles de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République".

Pendant la campagne présidentielle, une première plainte avait déjà été déposée en août 2006 par Ségolène Royal faisant état du cambriolage de ce même logement.

Trois collaborateurs de la candidate avaient aussi porté plainte pour cambriolage ou vol dans la même période, l'assistante parlementaire de Ségolène Royal, sa conseillère Sophie Bouchet-Petersen et un militant de l'association "Désirs d'avenir". Les enquêtes n'ont rien donné.

"Je ne subirai aucune intimidation, ma parole restera libre", a dit la présidente de la région Poitou-Charentes sur France 2. Ségolène Royal va briguer la direction du PS à la fin de l'année et a déjà fait part de son intérêt pour une nouvelle candidature présidentielle en 2012.

Elle a condamné la polémique engagée à droite après sa déclaration expliquant que Nicolas Sarkozy n'était pour rien dans la libération d'Ingrid Betancourt. L'UMP Christian Estrosi avait estimé en particulier qu'elle avait "l'humanité d'un bigorneau".

Elle voit dans l'importance donnée à cette déclaration la preuve d'une "mainmise du pouvoir sur les médias". "Je n'ai fait que reprendre les propos de l'Elysée et du Quai d'Orsay et il s'en est suivi un espèce de lynchage médiatique ridicule", a-t-elle dit.

Elle a aussi condamné le projet de suppression de la publicité sur les chaînes de télévision de service public, destiné selon elle à "enrichir les amis de M. Sarkozy, Bouygues, Lagardère, Bolloré qui s'apprêtent en plus à se positionner pour la privatisation d'EDF et d'Areva".

Putain d'merde,pour le coup elle paranoye vraiment...:flane: Elle perd la boule? :han3: L'"Opposition" c'est vraiment d'la gaminerie de nos jours. C'est quoi ses "attaques virulentes contre Sarkozy et son gouvernement"?:han: J'ai pas vu grand chose de nazi pour l'instant.:han2: Seulement de la barbapapa homosexuelle.:putenegre: :heenok1: :heenok48:

Allez Chevènement,crache ce feu.:lak7:

:chirac2:........:sousmarin:
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