Frérot, vous débatez sur les Pump, les Timber et tout le cirque, mais j’vais vous poser un truc : y’a un moment où t’as l’impression que toutes tes baskets te parlent plus.
Tu sais, ce moment où t’ouvres ton placard et t’as l’impression que t’es en boucle sur les mêmes choix depuis dix ans. J’ai eu ce déclic ce hiver — j’ai laissé les Jordan au placard, j’ai pris un truc que j’avais jamais essayé : santiag.
Pas la
santiag homme cheap que t’achètes pour faire le kéké, non. Une paire qui tient, cuir qui respire, semelle qui te colle au bitume comme si t’avais décidé d’imposer le silence autour de toi. La première fois que j’suis sorti avec, j’ai senti direct la différence : marche lente, regard qui change, les gens te regardent autrement. C’est con mais ça pose une posture.
Je vous jure, c’est pas pour le confort du jogger, c’est pour l’attitude.

T’as l’air d’un type qui connaît ses affaires, pas d’un mec qui court après une promo. Et côté entretien, le cuir se patine grave bien — la chaussure te raconte une histoire après quelques mois.
Perso j’ai pris mi-haute, bout un peu arrondi, et niveau taille : prends pas trop petit si t’aimes danser la nuit.
Si y’en a qui veulent que je poste une photo portée ou que je donne les mesures exactes, dites-le et j’la balance.

J’suis pas en train de faire le commercial, juste de partager un truc que j’ai testé et qui m’a surpris.
Après, chacun son délire : certains resteront fidèles aux Air Max, d’autres kifferont les Pump pour le côté vintage.

Moi j’dis juste que la santiag, ça change la donne quand t’en as marre d’être un clone de ville.
Allez, balance vos paires, vos galères de taille, vos bons plans, et si quelqu’un veut vraiment être orienté, j’vous file mon retour détaillé. Peace.
