B20BA Cet Homo-Rappeur

par **Jacques Chirac** » Dim 12 Juil 2009 10:44

J'ai vu son dernier vidéo ce matin :doigtoeil:

A un moment il dit 'vrais négros savent' :matete:

par **Legroschien** » Lun 13 Juil 2009 11:43

C't'une parodie on y croit pas t'entends :pew:

par **tulilupe** » Lun 13 Juil 2009 12:52

Putain le blanc la

Le nouveau messie :flane:

par **Lenny Slash** » Sam 7 Nov 2009 20:37

Mais, mais, croit tu que ca se peut? :heenok11:

Que t'arrive t'il mon Booba, han mon ourson! :putenegre3:

"Tu ne veut plus serrer de thons
Cesse la pêche
Marre de taper la te-hon
Cesse la pêche
Mate ste morue, l'est grillave
Cesse la pêche
Dans la rue et sur Tillate
Cesse la pêche"

:radio:

par **aucune poudre** » Sam 7 Nov 2009 20:47

NON NON NON JE NE cautionne pas ça booba fait l'oseille et booba a flingue :flingue:

comme un officiel du q-b project y a pas de problème aujourd'hui l'oseille est entassé il n'y a que ça qui compte l'oseille :dollar:

par **Performeur2QBC** » Dim 8 Nov 2009 16:47

2 3 ligne de poudre a écrit:NON NON NON JE NE cautionne pas ça booba fait l'oseille et booba a flingue comme un officiel du q-b project y a pas de problème aujourd'hui l'oseille est entassé il n'y a que ça qui compte l'oseille

Tu m'parles de quoi , de Lunatic , Time bomb ? Tu t'rappelles cette partie ?

Oui ils sont tous là a dire que booba était monstre chez Lunatic , il était peut-être rue mais son flow était sans arôme aucun :heenok67:

par **aucune poudre** » Dim 8 Nov 2009 17:59

Performeur2QBC a écrit:
2 3 ligne de poudre a écrit:NON NON NON JE NE cautionne pas ça booba fait l'oseille et booba a flingue comme un officiel du q-b project y a pas de problème aujourd'hui l'oseille est entassé il n'y a que ça qui compte l'oseille

Tu m'parles de quoi , de Lunatic , Time bomb ? Tu t'rappelles cette partie ?

Oui ils sont tous là a dire que booba était monstre chez Lunatic , il était peut-être rue mais son flow était sans arôme aucun

je pense qui si tu arrive a comprendre les punch line (ligne choc) des officiel du Q-B tu comprendrai que booba a flinguer cette merde

"pour eux que tu sois black d'une cité ou d'une baraque t'ira pas loin c'est vend du crack ou tire a trois points" quel homo gay français arrivent a faire ce genre de merde et puis aujourd'hui il a la trentaine passé il fait les million qui lui reste a faire le rap c'est une industrie "han" si tu veux affronter les 2 lunatic frero appelle ton supérieur enfin bref appelle un plus gros négro :flingue:

ici c'est pas les fanatique de morgay qui on 12 ans ici on connait la vrai merde je pense :han2:

par **Performeur2QBC** » Dim 8 Nov 2009 18:09

Ces lignes coup de poing .. :meuh:

booba a écrit:" J'ai roté mon poulet rôti "

C'est ça qu'tu me racontes ?

Booba un vrai négre qui fait du vrai rap , tu perds la boule ? :han2:

Tu penses que quoi ? Que lunatic c'est les patrons du rap français ? :heenok11:

IAM , Dany Dan , Assasin , eux ils flinguent , ton booba lui il encule :putenegre2:

Allez allez , cours écouter "on contrôle la zone" et mon petit ourson au vocoder , musique pute :heenok1:

par **aucune poudre** » Dim 8 Nov 2009 18:18

non j'ai une conception du rap qui n'est pas la meme que la tienne moi dans la vie c'est tout pour l'oseille

oui danny flingue (surflingue même) mais mais danny dit aussi que même quand booba n'était pas connu a l'époque de la péniche il déchirai déjà les foules je ne te juge pas mais je suis bientôt sur la trentaine et toutes ces époque time bombe c'est ça qui a fait que aujourd'hui je résiste encore un peux a écouter du rap booba flingue booba a pris l'oseille on dirai un enfant quand tu crache sur lui tu croyai qu'il allai raper pour la rue toute sa vie il roule en lamborgini il va pas raper pour les mec qui mange au grec tout les soir (l'oseille t'entend) :flingue:

par **Performeur2QBC** » Dim 8 Nov 2009 18:22

Pour qui rap booba maintenant ? :triodujour:

Pose toi la question :sourirekabile:

Pour tout mes bbt qui saisissent son cd à intermarché :commentjvaisfairepourdesecendre?:

par **aucune poudre** » Dim 8 Nov 2009 18:26

exclusif

POUR L'OSEILLE MON JEUNE

pour qui crois tu que le prophète français officiel du queens rap :han2:

L'OSEILLE

par **Jb boin 2017** » Dim 8 Nov 2009 18:38

A l'époque du Timebomb.... Booba c'etais le poids faible de l'équipe, avec son faux accent de la rue et de la campagne mélangés ensemble et déjà totalement fictif :meuh:

Et l'oseille... jrespecte pas lorsque bon... on fais croire que c'est de l'art alors que c'est de la malbouffe auditive (salutations à

)

par **aucune poudre** » Dim 8 Nov 2009 18:58

ils ont tous rêvé a cela faire ce rap du queens han quand ali ne c'était pas perdu avec geraldo BOOBA a perturbé tout les cervelet :han2:

et pris l'oseille :euro:

par **aucune poudre** » Lun 9 Nov 2009 01:13

et puis surtout j'aimerai poser une question au gens disons qui flane en chandail de la nfl et casquette newEra alors qu'il ne devrai pas mais est ce que certain on vécu le truc quand ça venait de sortir :han2:

tu sais,,,tu sais,,,tu sais cette époque ou les temps n'étaient pas les même et que tu étais fâché dans la rue avec t'es amis (tu comprend genre de l'époque) l'époque ou tu trainai avec toute sorte de motards criminalisé qui roulaient avec des voiture haut de gamme allemande alors que bon il n'avait pas l'age de la retraite mais c'était unique comme période c'est impossible a revivre :han2:

personne ne délattai dessus dans cette putain de banlieue parisienne tu t'rappel l'époque ou c'était le luxe et on était tous fier que des mecs flingue le français (les flows, les prods,les lignes choc du queens de luxe) arrêter de délatter :heenok1:

par **Djino le malin** » Sam 12 Déc 2009 18:58

par **Jb boin 2017** » Sam 12 Déc 2009 19:24

Djino le malin a écrit:

ANTIQUE

par **lesvraischoses** » Sam 12 Déc 2009 20:14

Booba – Petit Eloge de la Mégalomanie Quotidienne
Vendredi, 04 Décembre 2009

Le trottoir du boulevard de Rochechouart succombe sous des hordes de fans massés et contenus le long d’une file interminable. Résignés mais conscients que leur salut viendra de la patience, chacun essuie avec stoïcisme la pluie infâme qui souille le pavé, dans l’attente de la fouille au corps prolongée qui aura valeur de sésame. Du côté de l’entrée des nantis VIP, la situation est à peu près aussi désespérante. Une bonne cinquantaine d’individus sans ticket, de ceux qui vendraient père et mère pour pénétrer dans l’enceinte, organisent un forcing éminemment voué à l’échec. L’option judicieuse consistera donc à passer l’heure restante de la première partie, à se pinter dans le bar à côté, au chaud, plutôt que de passer la durée de l’Autopsie Show à sécher comme une merde.

Une heure plus tard, casquette à la ricaine vissée sur le crâne, lunettes de soleil agencées sous la visière et serviette nonchalamment déposée sur les épaules, le rappeur boxeur apparaît serein et souverain sur la scène d’une Cigale arborant l’allure d’une arène au bord de l’implosion. Les hurlements aigus émanant de l’impressionnant contingent de jeunes femmes pullulant dans tous les recoins de la salle confinent à l’hystérie. Les premières rimes distillées par l’auto-proclamé Duc de Boulogne ont entraîné la salle dans un vortex dont elle ne s’extirpera qu’au cours des interludes où les quelques invités – que personne ne semble vouloir entendre mais qui seront l’excuse renouvelée à chaque détour au bar – viendront donner toute leur dimension morbide aux grandes lettres tracées sur le mur surplombant la scène, pour former le mot Autopsie. La balance a manifestement été faite n’importe comment, les basses saturées résonnent de manière bien trop violente, mais l’armada de mecs qui filment avec leurs téléphones autant qu’ils se délectent du concert, n’en a simplement rien à cirer. Incessants, les hurlements féminins continuent de se faire entendre et la foule est même prise d’un spasme orgasmique incontrôlé au moment où un soutien-gorge atterrit sur la scène en guise d’offrande sexuelle.

Sur la majorité des morceaux, le public chante sur toute la longueur des titres et partage en définitive l’affiche. Les coupures récurrentes de microphone et de beat permettent à la clameur populaire d'envahir l’espace avec brutalité. L’alchimie qui flotte dans la salle au rythme d’un drapeau du Sénégal jeté depuis les gradins est surprenante à bien des égards. Les pire cailleras sont attendries et récitent les rimes de Bédeuzobéa tels des sonnets appris avec fluidité à l'école et déclamés des milliers de fois depuis. Sans relâche. L’intensité de la moiteur brûlante qui a inondé la Cigale est à la hauteur de la mégalomanie du rappeur. Bouteille de Jack greffée dans la main, attitude démesurément assurée, Booba enchaîne les chansons – parfois sans les finir – alpague avec virulence le public et lui reproche de ne pas chanter assez fort sur des titres dont il revendique haut et fort ne pas connaître les paroles. Qu’à cela ne tienne, ce public qui l’a érigé en Dieu du bitume se moque bien de ce play-back assumé. Jack en main toujours, apologie de la thune, hystérie collective et assurance à toute épreuve, Booba incarne simplement le Johnny Hallyday contemporain d’une frange de cette génération Y teintée aux couleurs de la banlieue parisienne.

Par Loïc H. Rechi // Photo: Marco Dos Santos.

Négro,tout est dit :mouais: