La France comptait 7 ou 8 mercenaires, sans peur et sans reproches, émancipés du pouvoir du sélectionneur, selon Le 10 Sport: Evra, Henry, Abidal, Ribéry, Govou, Gallas, Diaby et Clichy. Encore une fois, cette information est à prendre avec des pincettes, à l'inverse d'un Dr House et de ses gros sabots. Mais selon un proche du joueur girondin, 4 d'entre eux, "Evra, Gallas, Anelka et Ribery ont surnommé Gourcuff "la Nouvelle Star" durant le séjour bref qu'a effectué l'équipe de France à Knysna en Afrique du Sud. Ces mercenaires, tout comme leurs 7 homologues du film de John Sturges, ne semblait agir que pour leur intérêt propre, celui de l'équipe ne comptant que pour du beurre. Gourcuff, tête de Turc d'un groupe qui n'avait définitivement pas le niveau, ni physique, ni même mental.
"Ces quatre joueurs avaient pour rituel de mettre une claque derrière le crâne de Gourcuff à chaque fois qu’il passait devant eux dans l’allée du bus. Un jour, Evra est allé plus loin que d’habitude et Gourcuff a répondu. Alors que le ton montait entre les deux joueurs, Alou Diarra s’est interposé et a signifié à Evra que s’il voulait avoir à faire à Gourcuff, il devrait d’abord avoir à faire à lui." Ces propos, relayés par le site chezlesgirondins.com, proviennent selon le média, d'un proche du meneur girondin. S'ils restent à prouver, ces affirmations risquent encore de donner du grain à moudre à la presse internationale, et obligera à terme les principaux intéressés à ouvrir leur bouche pour infirmer ou confirmer ces propos houleux.
"Ribery, Gallas et Anelka se sont levés pour montrer leur soutien à Evra, alors que les Bordelais Carrasso et Planus en ont fait de même pour montrer leur soutien à leurs coéquipiers en club". Une scène digne d' "Il était une fois dans l'Ouest", sauf qu'elle a eu lieu dans le Sud de l'Afrique et que tout le monde s'est fait éliminer à la fin, même la "Nouvelle Star". Mais cette scission entre les mercenaires du groupe et les Bordelais pose un problème d'autant plus important. En tant qu'ancien entraineur de Bordeaux, Laurent Blanc aura du mal à se placer avec neutralité dans ce débat s'il s'avérait véridique. Pour lui, l'ampleur du boulot semble augmenter de minutes en minutes. Ce sont "les Douze travaux d'Hercule" qui commencent pour le Président. Mais, si ça y ressemble, ce n'est pas de la télé-réalité.
Source : Goal dot com
