
«Je n’ai pas besoin qu’on me répète les mêmes choses à l’infini. Je sais qu’il y a de gros problèmes en Corée du Nord, mais les gens y sont charmants et, le plus important, fous de football. Je vis au Japon, je vais souvent en Corée du Sud, mais, coryez-moi, je ne suis ni communiste ni capitaliste. Je me sens simplement bien avec ces garçons qui n’ont qu’un jeu de maillots et ne reçoivent pour toute prime à la victoire qu’un fraternelle poignée de mains. J’en ai assez de ces playboys qu’on voit à Tokyo ou à Séoul,»
Le sorte d'asiatique qui pourrait brasser des millions et se branler le câble avec l'équipe nationale du japon et de la corée du sud

