
Parmi les nombreuses informations personnelles affichées sur le profil des membres de Facebook, il y a le statut relationnel de la personne. Il peut indiquer " célibataire ", " en couple ", " marié(e) ", " fiancé(e) ", " c'est compliqué " ou " en union libre ". Il y a quelques mois de cela, cette information a coûté la vie à une jeune maman britannique.
Le 18 février dernier, soit quelques jours après que son mari ait définitivement quitté la maison, Emma Forrester, une mère de deux enfants, a changé son statut. Une notification a alors été envoyée à tous ses contacts indiquant que la femme était désormais célibataire, chose qu'a très mal prise son ex-compagnon, Wayne Forrester, qui a également reçu cette alerte. L'homme de 34 ans a en effet pris la voiture et s'est rendu à la maison. La dispute a mal tourné et l'homme a fini par poignarder sa femme avec un couteau de cuisine.
S'il n'y avait que la passion à l'origine de ce drame...
Emma ForresterNe niant pas les faits, l'homme a déclaré : " Emma et moi, nous nous étions juste séparés. Elle m’a forcé à partir. Ensuite elle a posté des messages sur Facebook déclarant à tout le monde qu’elle m’avait quitté et qu’elle cherchait à rencontrer d’autres hommes. J’aimais Emma et je me suis senti dévasté et humilié. "
L'homme a reconnu les faits et vient d'être condamné à la prison à perpétuité. Si la sentence peut sembler relativement dure pour un crime passionnel, il est toutefois à préciser qu'au moment des faits l'homme était sous l'emprise de l'alcool et de la cocaïne, ce qui n'a bien évidemment pas plaidé en sa faveur lors du jugement.
idi amindada ressurection a écrit:le son du noir maze mérite une danse africaine // parce que il sait faire l'argent comme un ougandais trempant dans les affaires de gros billets de patron négre
keyon martin a écrit:la cocaine s'entasse dans chaque sinus et anus
L'homme était sous l'emprise de l'alcool et de la cocaïne, ce qui n'a bien évidemment pas plaidé en sa faveur lors du jugement
Un homme a été emprisonné pour avoir "reçu les faveurs sexuelles d'un aspirateur" dans une station de lavage auto.
L'homme, âgé de 29 ans, a été interpellé par les forces de l'ordre après avoir été dénoncé par un témoin. Ce dernier a contacté la police lorsqu'il a vu le suspect agir de façon suspicieuse dans la station de lavage automobile.
L'officier de police dépêché sur les lieux a surpris l'homme durant l'acte, avant de le placer en garde à vue. "J'ai vu pas mal de choses bizarres mais ça, c'est vraiment l'événement le plus étrange auquel il m'a été donné d'assister", a expliqué le policier ayant mené l'arrestation.
Un homme a été emprisonné pour avoir "reçu les faveurs sexuelles d'un aspirateur" dans une station de lavage auto.
Le Manche a écrit:![]()
La fin du monde...![]()
La mort sort du pénis, dans la station d'lavage, avec l'aspirateur sur l'penis...![]()
idi amindada ressurection a écrit:le son du noir maze mérite une danse africaine // parce que il sait faire l'argent comme un ougandais trempant dans les affaires de gros billets de patron négre
keyon martin a écrit:la cocaine s'entasse dans chaque sinus et anus
[...]e magistrat enquête sur la disparition mystérieuse d'un journaliste indépendant, Jean-Pascal Couraud, le 15 décembre 1997. Rédacteur en chef du quotidien les Nouvelles de Tahiti, il travaillait alors sur d'éventuels transferts de fonds entre une grosse entreprise de Polynésie française et un compte qu'aurait détenu l'ancien président Jacques Chirac. Le juge d'instruction Redonnet cherche depuis 2004 à vérifier l'hypothèse selon laquelle ce journaliste aurait été assassiné parce qu'il aurait fait des découvertes «compromettantes».
Le 4 juin dernier, le juge d'instruction s'était donc rendu à la Direction générale des services extérieurs (DGSE) pour saisir seize documents relatifs à ce fameux «compte japonais» présumé. Ils étaient placés depuis sous scellés en attente d'un éventuel déclassement, intervenu finalement mardi. Hervé Morin a ainsi déclaré mercredi matin sur LCI avoir «signé les documents». A la question de savoir si ces documents déclassifiés allaient apporter des éléments nouveaux, il a répondu: «Non, comme toujours il y a beaucoup plus de fantasmes que de réalité dans tout cela».[...]
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